Utiliser les outils numériques comme une annexe de son cerveau, un vieux rêve de la science-fiction. C'est une tendance naturelle de l'humain que de déléguer certaines fonctions à des outils et des machines ; pour protéger les pied : les chaussures ; pour se déplacer plus vite : la voiture ; pour se souvenir et réfléchir : les outils numériques de gestion de l'information.
Notre mémoire chimique est limitée. Pour remédier à cela, on a d'ailleurs inventé l'écriture, les bibliothèques et les bibliothécaires. Le bibliothécaire indexe les ouvrages par mots-clés et classe dans les rayons.
Pour indexer et classer mes fichiers, je teste en ce moment Copernic Desktop Search 2.0. (En remplacement de Google Desktop).
Un moteur de recherche personnel de mes données sur mon ordinateur. L'avantage est de pouvoir retrouver dans des informations sauvegardées, celles qui sont passées inaperçues à la première lecture mais dont on a pensé "ça m'intéresse et j'en aurai besoin plus tard". Et aussi les
fichiers rangés au mauvais endroit. Et tout cela grâce à quelques mots-clés (220 000 mots-clés pour 2000 documents environ indexés pour l'instant).
Bien sûr, il y a aussi la mémoire chimique analogique qui vient compléter la mémoire numérique, pour ce qui a un gôut, une couleur, une texture, une odeur...
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