dimanche, juin 29, 2008

40 principes pour atteindre son poids de forme - principes 26 à 40 [TRIZ]


Dans une série de billets précédents, je m'étais inspiré des 40 principes de la méthode TRIZ pour trouver des solutions innovantes de gestion du temps.

Envisageons maintenant de trouver des applications concernant la nutrition.
Les commentaires sont les bienvenus.

Après les Principes 1 à 5 , les principes 6 à 10, les principes 11 à 15, les principes 16 à 20, les principes 21 à 25, voici les principes 26 à 40:

26. la copie
    • Copier les recettes des grands chefs en adaptant les produits à votre budget
    • photographier ce qu'on mange
27. l’éphémère et l’économique
    • Remplacer un aliment cher par un aliment bon marché, en compromettant d’autres propriétés (ex. longévité)

28. la reconception
  • Changer de mode de cuisson et comparer les résultats
29. le système hydraulique ou pneumatique
    • remplacer les parties solides d’un objet par un gaz ou un liquide. Ces parties peuvent utiliser de l’air ou de l’eau pour gonflage
    • Utiliser de l'eau ou de l'air pour faire des mousses, pour alléger les produits
30. la membrane flexible
    • Utiliser la cuisson en papillotte
    • Filtrer
31. la porosité du matériau
    • Filtrer, passer, tamiser.
    • Utiliser des aliments qui absorbent les sucs, les jus, les saveurs.
32. le changement de couleur
    • Changer la couleur d’un aliment ou des son environnement (changer la couleur de la vaisselle, de la pièce où l'on mange)
    • Utiliser de la gélatine et des colorants naturels pour changer l'aspect d'un aliment.
33. l’homogénéité
    • Faire un repas à thème, tous les plats comportent un élément commun.
    • Eviter une trop grande variété des aliments qui stimule la curiosité gustative même lorsque l'on est rassasié.
34. le rejet et la régénération
    • Jeter ce qui est superflu ou recycler (l'art d'accommoder les restes...)
35. le changement de produit (transformation des propriétés)
    • changer l’état physique d’un aliment : s'il est solide , le rendre liquide ou se contenter de son odeur
    • changer la concentration ou la densité : rajouter de l'eau ou à l'inverse concentrer la préparation
    • changer le degré de flexibilité : transformer un solide en mousse
    • changer la température ou le volume : faire un soufflé
36. l’utilisation des changements de phase
    • Utilisation de levure pour créer une structure plus légère.
    • Phénomènes de cuisson par la vapeur d'eau, l'eau contenue dans le produit se vaporise...
37. l’expansion thermique
    • Chauffer pour faire gonfler
38. l’oxydation
    • Utiliser les réactions avec l'oxygène de l'air
    • Utiliser de la vitamine C pour prévenir l'oxydation
39. l’environnement d’insertion
      • Cuisson en cocotte minute
      • Cuisson sous vide
      • Cuisson basse température
      • Cuisson mijotée...
40. l'aliment composite.
      • Remplacer un aliment homogène et raffiné par un aliment qui contient beaucoup de fibres
      • Ajouter des fibres dans les plats


Pour poursuivre vos réflexions, je vous invite à consulter le site du GROS (Groupe de Réflexion sur l’Obésité et le Surpoids) et le PNNS (Programme National Nutrition Santé).

Source de l'image : http://s.tf1.fr/mmdia/i/25/3/etre-vegetarien-bien-alimenter-2207253_1359.jpg

2 commentaires:

Unknown a dit…

Bonjour,
peux-tu expliquer l'idée de "prendre son repas en photo" ?

Sébastien

PS : je souhaitais te contacter par email mais je ne vois pas d'adresse où te joindre ?

Fred a dit…

@Sébastien: Bonjour,
l'idée est que le surpoids provient d'un excès d'apport d'énergie par rapport aux besoins. Il s'agit d'aider son corps à évaluer correctement la prise de nourriture.
Prendre des photos permet d'avoir une approche plus rationnelle de la nutrition. Les gens qui sont traités pour surpoids sont souvent encouragés à tenir un carnet où ils notent leur prises alimentaires.
Prendre des photos peut également permettre de manger moins vite et d'être attentif à l'aspect de la nourriture.
On pourrait sans doute également tenter l'expérience avec un dictaphone en nommant sa prise de nourriture. Il s'agit de manger en conscience. Le fait de pouvoir revoir une photo permet de comparer et de se souvenir de ce que l'on a mangé.
Un fois la faim passée, on peut se demander pour chaque photo : cela répondait-il à un besoin réel ou à une habitude ou à un conditionnement (publicitaire ou autre).


PS: est-ce qu'on se connait ?
les commentaires sont modérés.
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