Il ne s’agit pas de dire qu’on ne peut pas utiliser SuperFocus électroniquement. Mais plutôt que je préfère de loin utiliser un carnet et un stylo [système robuste et low cost (pas de panne de batteries, pas de problèmes de luminosité, pas de temps d’arrêt ou de démarrage, remplacement facile en cas de perte, resistance à l’eau voir aussi le HipsterPDA de Merlin Mann et le principe KISS Keep It Simple & Smart « Fais simple et élégant »].
Pourquoi ?
Pour moi, il y a deux raisons. L’une psychologique et l’autre pratique.
Et ensuite, il y a la tentation de compliquer les choses. D’abord vous ajoutez des mots clés pour pouvoir filtrer vos entrées. Ensuite, vous insérez des liens vers des documents et ainsi de suite.
Tout ceci est très utile sans aucun doute, mais transforme la saisie d’une tâche en un exercice de gestion de données. [voir aussi le billet GTD sur le sujet et le concept de Productivity Pr0n] :
Mark Forster a fait l’expérience en transposant sur ordinateur son activité ordinaire avec un carnet papier afin de démontrer sur son blog comment fonctionne les systèmes qu’il développe. Il a trouvé cela très fatiguant et à comparé cette expérience à une course cycliste vent de face.
[les commentaires sont du traducteur et j’ai traduit librement le billet que vous pouvez trouver sur le site de Mark Forster ]
Pour mémoire, les principes de SuperFocus en français.
Astuce n°1 et Astuce n°2.
Psychologiquement, les listes électroniques peuvent apparaître virtuelles, froides et insensibles. D’un autre côté, un carnet a l’air vivant. Toutes ces irrégularités, ratures, erreurs... sont des choses auxquelles je peux m’identifier. La sensation du papier, le poids du carnet, le bruissement d’une page qu’on tourne, le plaisir du stylo, l’enthousiasme d’écrire la première ligne d’une nouvelle page. Tout cela fait de ce carnet une part de moi.
En pratique, aussi brillante que soit l’implémentation électronique d’un système de gestion du temps, il y a toujours un coût supplémentaire. Même avec un clavier de bonne taille, prendre note de quelque chose prend plus de temps que d’écrire avec un crayon sur du papier.Et ensuite, il y a la tentation de compliquer les choses. D’abord vous ajoutez des mots clés pour pouvoir filtrer vos entrées. Ensuite, vous insérez des liens vers des documents et ainsi de suite.
Tout ceci est très utile sans aucun doute, mais transforme la saisie d’une tâche en un exercice de gestion de données. [voir aussi le billet GTD sur le sujet et le concept de Productivity Pr0n] :
Mark Forster a fait l’expérience en transposant sur ordinateur son activité ordinaire avec un carnet papier afin de démontrer sur son blog comment fonctionne les systèmes qu’il développe. Il a trouvé cela très fatiguant et à comparé cette expérience à une course cycliste vent de face.
[les commentaires sont du traducteur et j’ai traduit librement le billet que vous pouvez trouver sur le site de Mark Forster ]
Pour mémoire, les principes de SuperFocus en français.
Astuce n°1 et Astuce n°2.
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